Cherche.

J'avais quitté, la famille, la maison, en prétendant avoir oublié quelques affaires à l'institu j'avais donc quitté tout le monde en courant, Eloria criais en protestant que ce n'étais pas grave et que de toute façon ont retournerais tôt ou tard la bas, et que le billet de train n'étais pas gratuit, j'avais souries bêtement, et elle m'avais laissé partir, petite ruse connus de ma mère pour la faire craquer. Mon visage pouvais paraître pâle, car il l'étais en effet, guerre rassuré de me promener dans des rues dont je ne connaissais rien, je recherchais ne serais-ce qu'un maudit, en ces lieux, ce qui aurais été la preuve, que certain parmis nous complottais des choses qui n'étais pas permis.Ma petite voix éttoufé je me suis mise à crier alors que tout le monde se retournais pour regarder une jeune fille de 14 ans, simplement ignorante à première vues, mais qui pouvais prétendre savoir la force que je cachais dans se petit corps enfantin. Un poignard caché dans ma manche droite de mon pull, j'étais prète à me battre à la moindre occasion si celle ci se présentais.

*Tout est calme, et plus j'avance, plus je m'éloigne de mes repères, bientôt on pourras officiellement dire que je suis...........perdue...c'est peut être stupide mais je ne suis pas éffrayé à l'idée de ne jamais rentrer.*

Un sourire malicieux se placas sur mon visage, alors que je continuais d'avancer silencieusement, en attendant une réponse ou un signe de la part de n'importe quel inconnus qui se présenterais comme une personne qui pourrais m'aider dans cette tache que je devais accomplir, les motifs qui me donnais plus ou moin envie d'avancer, Liko les conaissais maintenant, mais ils avaient continués de me hanter comme un objectif que je n'aurais pas du abandonner, alors puisqu'elle m'a laissé partir, je voulais saisir cette chance, de "me retrouver".

J’arriva alors devant elle. Droite et imposante. Je n’étais désormais plus une enfant depuis le mois que j’avais enduré seule. Mon corps paraissait encore frêle et pourtant, je devenais aussi forte qu’une adulte. Je portais encore la robe d’un blanc crème que m’avait offert Océane. J’avais aussi enfilé ces bottes en cuirs que j’avais acheté il y avait des mois de ça. Je me plaça alors devant ma sœur de cœur. J’avais invoqué un de ces immenses faucons pour venir jusqu’ici et d’un ton froid et dur, je dis à Océane.

« Alors, tu n’as toujours pas lâché ton idée. Si tu veux vraiment tuer des maudits Océane. Commence d’abord par moi… Car je ne supporterais pas l’idée que tu en tues devant moi !! »

Enervée, je donnai alors un grand coup de poing dans l’arbre à ma gauche. Celui-ci se mit alors à trembler bizarrement et de ces feuilles sortit un immense loup aux poils crème. Sur son front se trouvait une immense cicatrice. Je m’assis alors sur lui en gardant mes deux pieds du même côté et toucha son cou. Puis, relevant délicatement ma tête, je déclarai alors en plissant légèrement les yeux.

« Océane. Nous avons passé du bon temps ensemble. Nous nous sommes amusées et nous nous amuserons. C’est pour cela. C’est parce que tu es la chose la plus importante pour moi.
QUE JE NE TE LAISSERAIS PAS FAIRE UNE SI GROSSE BÊTISE !!! »

Puis sans réfléchir, je donnai alors toute ma force à mon invocation. Je transmis toute mon énergie et toute ma vie en lui. J’étais désormais inactive et froide. Mais si Océane tuait mon invocation, je mourrais. Tandis que si elle me frappait, je ne réagirais pas et donc, je resterais coincée dans un corps de bête. C’était une nouvelle technique, se transformer sois même, se modifier génétiquement en animal. Et la cicatrice, c’était une blessure qu’on m’avais infligée. Il représentait mes sentiments, blessés, cicatrisés, puis réouverts pour saigner… Le chien soufflait déjà, sa respiration se transformait en buée blanche et froide tandis que sa plaie à la tête saignait pour écouler toutes les souffrances jamais exprimées….

Je n'avais jusque la pas sentis ça présence ou du moin, peut être que si mais je l'avais volontairement ignoré. Tout s'enchainas, et je n'avais pas réagis, je la regardais, elle été énervée pourquoi donc tant de colère, elle ne comprenais pas, elle ne comprendrais pas ce qui me poussais à avancer, lorsque son corps deveint inerte aucun sentiment ne me traversa, je n'étais déja plus moi même, je sorti un poignard de ma botte droite, celui ci fit un bruit atroce, au contact de l'air, alors qu'un léger sourire animais mon visage.

Idiote tu n'a encore rien compris.

Mes yeux étais passé d'un bleu azur et claire, à bleu saphir foncé et profond, comme un gouffre sans fin. J 'agittais d'une main sur l'arme, mes petits doigts ne le lachais pas et on pouvais désormais être sur que je savais me battre avec une certaine facilité lorsqu'il s'agissais de cet arme, j'avais de nombreuses années d'experience dèrière moi en combat, surement plus que Liko, puisque tout à commencé dès l'age de mes 6 ans, avec mes parents.

Tu crois peut être que je ne suis pas capable de tuer, de te tuer.

Tête relevé je fixais le loup, je ne me contrôlais plus je n'étais plus cette simple personne, car plus les jours défilais plus je devenais ce que l'on apelle courament dans notre famille "Un rêve" oui un rêve à part entière,tu ignore beaucoup de nous Liko, beaucoup de notre passé mais aussi de notre avenir, Eloria n'est pas vraiment vivante, elle n'est qu'une simple illusion que ma mère à créer pour se rassurer, Eloria est un rêve et si la malediction scesse, elle ne seras plus qu'un lointain souvenirs, d'ou la différence entre nos pouvoir respectif qui on tout de même un lien, de même que moi je suis bien vivante, née de l'amour de deux personne seulement je suis maudite comme vous tous, mais mon pouvoir, prend de plus en plus d'ampleur, plus les jours passe plus je devient un rêve, bientôt je serais la copie exacte de ma soeur, Eloria se bat elle se bat pour sa, pour moi, mais en agissant ainsi, elle l'oublie égoistement qu'elle disparaitras, si tu savais les nombreuses raisons qui m'ont poussé à faire ce choix, la vengeance, la survie, l'amitier, la peur........tout sa ne fait qu'un tout, un sentiments de culpabiliter.

Tu ne sais rien........vraiment rien........

J'étais toujours dans une grande colère d'antant plus que c'étais mon amie, ma soeur, qui se rebellais contre moi, ainsi donc elle signerait sa mort, ce que je ne savais pas à ce moment, c'est que si je la tuais, je me tuais moi aussi, et eloria par la même occasion.Mais je m'étais déja élancé, un poignard dans chaque main, prète à me battre, pour quelques convictions.....Quels convictions.

Lorsque je vis les deux lames d'Océane, je me dis alors que, j'avais tout perdu. Que sûrement ce combat ne se terminerait que par ma mort. Oui, je me considérais comme faible comparé à ma soeur. Les crocs serrés, je la regardai tristement. Alors, c'était ainsi que se finirait ma vie? J'avais toujours cru que je mourrais à cause de mon pouvoir et non qu'Océane me tuerait. Puis tranquillement, tout en fermant les yeux, je me mis à courir vers les dagues d'Océane pour les mordre et ainsi la désarmer. Mais au contraire, je me coupa au visage et recula violemment. J'avais mal. Non pas au visage. J'avais mal au coeur. Ce désire qui me tirait de l'intérieur, cette folie qui nous animait. Je ne voulais pas qu'elle tue les maudits, je ne voulais pas qu'on détruit la malédiction. Je voulais tout simplement continuer d'exister, continuer d'avoir ce lien qui nous rapprochaient tous les uns comme les autres.

Je voulais vivre.

Le combat commenças, qui aurais pus dire jusque la que deux amies, que nous, nous qui étions si proches, en finirions la?! personne, c'est pourquoi cette scène nous hanterais à jamais, comme un cauchemard qui ne veus s'achever, une dur réalité.Lorsqu'elle se jetas sur moi, un de mes deux poignard m'échapas, celui me coupant, légèrement l'avant bras, les veines particulièrement, le sang s'écoulais à petit flot, rien de bien grave, je continuais, acharné, et bien décidé, à continuer d'avancer, fonçant sans penser ne serais ce un instant que je pouvais la tuer,je réussi à toucher la cicatrice du loup, avant de me laisser tomber à genoux sur le sol froid, le souffle coupé, D'une main délicate, je refermas les veines, oui car contrairment aux artères, les veines étais si fines qu'il sufisais d'une petite pression pour que le sang scesse de couler.J'arachas un bout de ma robe qui étais jusque la blanche, et maintenant taché de sang, pour recouvrir la plaie que je m'étais faite avant de me retourner pour regarder l'animal et mon amie....ma soeur.

Elle m'avait blessé à ma cicatrice et d'un coup, je me rendis compte de tout. Je ne me contrôlais plus. J'avais deux esprits en moi et ça, depuis toujours. En vivant dans un corps d'humaine je restais moi même, mais lorsque je transvasais mon esprit dans le corps de l'animal, c'était comme versé une bassine dans un verre d'eau. Tôt où tard, je perdrais de ma lucidité et ceci venait tout juste de se produire. J'avais blessé Océane aux veines et le fait d'en avoir été la responsable m'horrifia. Comment avions nous pu en arriver là? En si peu de temps... Elle était toute ma vie et si je l'aurais blessée gravement je crois que j'en aurais ensuite finit. M'approchant doucement d'elle, je fis tomber mon corps humain au sol. Une Leiko vide d'expression, pâle et gelée. Suivit de mon corps velu qui tomba à ses côtés. Je posa une de mes pattes sur sa joue et en fermant les yeux, je récupéra mes esprits. J'avais oublié beaucoup de choses. Beaucoup d'informations concernant mes parents... Et alors que j'étais encore faible, le corps du loup se transforma en tonnes de petites billes tandis que, en larmes, je courra vers Océane pour m'excuser et la soigner. Je ne m'en étais pas rendue compte mais mon dos était couvert de blessures et de cette fameuse cicatrice....

Je n'avais plus vraiment les idées claire jusqua présent et ce combat m'avais ouvert les yeux, je comprenais enfin le pourquoi et le comment d'une tel situation, le sang continuais de perler, et mon bandage devenais rouge pourpre, mes yeux se fermais presque d'eux même et mon corp avais certainement baissé à une température de 31°, mais je ne m'étais rendus compte de rien, lorsqu'elle s'avanças pour me soigner, je reculas d'un pas vif, comme acablée par la peur, et puis finalement je tournas le dos,c'est seulement lorsque les cicatrices qu'elle portais sur elle m'apparut que je me décidas à l'approcher, mon visage passas par toutes les couleurs, pour finalement se fixer à une couleur pâle, très pâle, aussi pâle que le sien, attrapant alors sa main, je baissa la tête pour m'excuser, sans broncher, comme une enfant l'aurais fait après avoir commis une erreure, une grosse erreure, puis d'un geste asser rapide je fixas les plaies, j'avais quelques années d'expèrience dans le domaine, mais étais ce prudent que je m'en occupe moi, il aurais mieu vallus que se sois quelqu'un d'autre, eloria pourrais certainement s'en occuper, alors je relevas la tête en l'agitant légèrement des deux côté avant de dire.

Rentrons à la maison pour te soigner!

J'étais trop fatiguée pour rentrer ou utiliser mes pouvoirs. Je tenais ses mains et posant ma tête dessus, je me mis à pleurer. Je me sentais faible, faible et encombrante. Puis tout en respirant calmemant je lui murmura tout bas.

"Tu sais Océane... Ca fait longtemps... Longtemps que j'avais envie de te dire... À quel point je t'adore..... Et à quel point je suis stupide....."

Je serrais ses mains en continuant de pleurer au dessus d'elle. Vide de forces, ma cicatrice me faisait étrangement mal. Je ne savais plus quoi penser, des choses me paraissaient pourtant clair devenaient improbables. Des tatouages apparaissaient pour disparaitre et j'avais peur... Peur de disparaître avec eux... Peur d'en finir avec tout ce que je ressentais.... Je me laissai alors reposer sur les jambes d'Océane sans me soucier du lendemain, sans me soucier de notre emplacement et des gens qui pourraient venir gâcher cet instant...

Je restais, le regard vide, les émotions le traversais mais elles devais être si fluides, qu'elles se mélangeais amèrement à la couleur bleu pâle de mes yeux.Mes mains tremblais,mon bandage tombas sur le sol, imbibé de sang, trop lourd pour tenir sous un tel poids, Liko semblais, éffaré, fatigué, et je l'étais tout autant, lorsqu'elle ajoutas qu'elle attendais de me dire depuis longtemps qu'elle m'adorais ma réaction fut celle qui me corespondais le plus, un léger sourire se plaças sur mon visage, tandis que je me laissai agréablement berçés par le bruit serein du vent.Mon corp tombas lentement sur le côté alors que je tenais fermement le pull de mon amie avec le peus de force qu'il me restais, mes yeux clos, je repensais aux évènements, à tout ce qui c'étais écoulé depuis mon arrivée à l'institution, la retrouvaille de ma soeur ainé, et la rencontre avec Liko, toutes les mésaventures auquels ont avais dus faire face et finalement sans le vouloir, sans vraiment le savoir, je m'engouffrais dans un longt et sombre sommeil, dont je ne voyais pas le bout, un tunnel noir, ou chaque pas est prise de risque.J'entendais malgrès tout le bruit d'un coeur qui battais, cette simple mélodie "Boum Boum" d'une personne bien en vie, j'étais vivante, bien plus que ma soeur et pourtant je n'aspirais cas devenir ce qu'elle appellais un "rêve" si celas me permettais de vivre, de vivre à ses côtés, sans me soucier, sans avoir peur un seul instant de la perdre, ou de ne jamais me réveiller.Ma voix si faible résonnas, un échos remplie d'affection et de désespoir.

Liko...

Juste son prénom résonna dans cette brise si délicate, et je l'entendais, ce murmures, celui de cette enfant que je serais encore pour longtemps, qui parcourais, le temps, les paysages, pour crier à tout le monde que pour moi aussi, elle étais et serais éternellement quelqu'un d'important,une personne rare, que l'ont cherchais pendant des année, que certain ne trouvais défois jamais et que moi j'avais ici, tout près de moi, pour me soutenir, rire, et rien que sa , c'étais sufisant....Pour tout ces moments, que j'avais passé, avec elle, j'aurais donné ma vie, ma vie pour me rapeller, de son sourire, de l'éclat de sa voix et de ses rires, parce que ces moments la me rendais étrangement mélancolique, et heureuse.

Allongée contre le ventre d’Océane, mes yeux se rouvrirent doucement. Pendant un instant ils se mirent à papillonner avant de s’adapter à la lumière ambiante. Me levant avec le soleil nous étions seules, sales et fatiguées. Lorsque je remarquais qu’elle tenait mon tricot, un petit sourire faible se dessina sur mon visage engourdit par le froid du matin. Mon immense cicatrice dans mon dos avait à nouveau disparue. M’allongeant aux côtés de mon amie, je laissai alors mon cœur battre au rythme du vent.
Lorsque je m’endormais tranquillement, je pouvais entre-voir dans l’ombre des animaux, ils gémissaient tous et je comprenais qu’ils désiraient que je les libère. Mais comment ? Je ne me souvenais que des choses que j’avais appris petite sur mes parents. Je ne me souvenais même plus d’Asami…
Dans cette ruelle où chaque animal me suppliait de le sauver de ce monde noir et triste, j’aperçus au loin une jeune fille. Assise au sol, la tête baissée tout comme une poupée cassée. Derrière moi, le souvenir de ma mère et de ma grand-mère me poursuivant et un jeune homme se trouvant être mon père marchait, je lui parlais, lui faisais comprendre que j’existais mais rien, il continuait d’avancer sans même me regarder ou m’adresser la parole. J’étais alors seule dans cette ruelle, assise, la tête baissée. Cette jeune fille qu’il y a trente secondes je qualifiais de poupée cassée n’était autre que mon reflet. Puis soudain, quelqu’un. Elle me regarde, passe son chemin. Puis quelqu’un d’autre. Elle m’observe, se baisse et commence à caresser mes cheveux. Elle me prend dans ses bras et m’emporte. Je sais désormais qu’avec elle je serais heureuse, je sais que je pourrais vivre longtemps en restant moi même. Ma tête se relève, nous marchons ensemble. Oui, moi, la petite fille sans sentiments, je tenais la main à une grande personne, à quelqu’un d’immense dans mon cœur. Relevant la tête tout en fixant l’horizon, je me réveille doucement.
Le soleil est beaucoup plus haut que tout à l’heure. Je ne suis plus blessée, ni même fatiguée. D’un geste de main, je créais un cheval et fis monter Océane dessus. Elle dormait encore et je commençais à avoir peur. Ses blessures commençaient à s’aggraver et son pouls était très faible. Sans m’en rendre compte, j’étais entrain de pleurer… J’essuyais mes larmes et dis à Océane et continuant de pleurer…

« Ne t’en fais pas onee-chan… Je vais trouver un moyen, tu vas t’en sortir…. On va soigner tes blessures… Réveille toi s’il te plaît… »

Je pleurais de plus en plus et, laissant le cheval faire, je me retournais pour prendre le pouls de mon amie, sa température et essayant de la réveiller du mieux que je pouvais, je la pris finalement dans mes bras en la serrant fort contre moi. Elle était gelée, j’enlevais mon tricot pour le mettre sur elle, mais mes larmes me gagnèrent à nouveau et tout en posant ma tête en dessous de la sienne, je trempa son tee-shirt de larmes salées et amer.

(HRP:Désolé Océane d'avoir été si longue =.= Mais je prend tout de même part au sujet )

Que faisait ces jeunes maudites près de cet endroit condamné?Darki s'y était rendu pour réfléchir à son nouvel objectif et ne s'attandait guère à voir ses deux filles.En passant la mémoire de Max au peigne fin il savait que ces deux filles avaient été ou étaient des pensionnaires de l'institut.Décidé à ne pas les laisser partir, il se mit sur le chemin du cheval avec son expression menaçante et narcoise de toujours.Les sourcils fronçé il regarda le cheval sursauté et s'arrêter à quelque centimètre de son torse.

Alors les filles,vous êtes perdues?

Son regard de sang étaient limpide au soleil et on pouvais bien voir que rien n'était humain chez ce type.Un morceau de la malédiction...Le Yang du Ying...Voilà ce que c'était.

Car,les maudits n'ont pas leurs places ici

Sa voix sacadé résona dans la place.Quelques corbeaux s'envolèrent en croissants de peur.

(Pas grave ont à fait un petit combat en attendant. ^^)

Je me réveilla alors que le soleil se levais doucement sur mon visage assez pâle, mon t-shirt dégoulinais de sang, de pluie et de terre.La chaleure qui émanais de Liko me ramennas doucement à la triste réalité et lorsque cette personne se postas devant le cheval qui s'emballas, il me fallus quelques minutes avant de comprendre corectement les paroles qui arrivais à mes oreilles, était-il contre les maudits? Je suposais que oui, alors sans chercher au delas de cette évidence je descendis tant bien que mal pour me retrouver le corp raide devant lui le menaçant d'un poignard taché de sang seché.Il ne devais en aucun cas toucher Liko, je tenais à me battre même si celas déplaisais à mon amie, je tenais à me battre contre les maudits, et ceci pour elle, personne, et je dis bien personne ne devais lui faire du mal.

Laisse la!

Mes yeux qui étais d'un bleu limpides devinrent un bleu saphir, ma main droite tenant fermemant l'arme qui couperais le fils de plusieurs vies j'étais prète à lui montrer ce dont j'étais capable, à bout de force et à moitier morte mais sa n'avais aucune importance, j'étais un rêve, alors ce qui éffrayais la plupart des humains peuplant cette planète, ne me faisais même pas trembler, peus importe quand tout sa se finirais, peus importe la mannière, j'étais prète depuis le début de cette histoire.

Je veus me battre contre les maudits, et Liko est sous ma protection!

Le ton que j'avais pris ne me ressemblais pas, je devais paraître sur de moi à ce moment là, alors que je me tenais prete à combattre une seconde fois.

Sans flancher il regarda la jeune blessée se mettre sur son chemin et le menaçé de cette si ridicule arme.Enregistrant le nom ,qui devait être celui de l'autre maudite, qu'elle lui avait dit dans sa tête, son sourir s'éffaça pour laisser place à un visage mélancolique.

Tu as dit; Contre les mutants?

Un rire tout aussi sacadé que sa voix résonna dans la rue.

On ne recrute pas à la maternel miss!Si tu t'es ramassé comme ça juste en venant ici tu es bien trop faible!

Il montra de la tête une autre rue derrière de trio,désolé quatro avec le cheval.

La maternel c'est par là!MWUHAHAHAHA

Il s'amusait bien certe bien que la situation le rendait un temp sois peu istérique.

Bref...Range ton joujoux!Je vais vous tuez tout les deux et si tu veux te déffendre fait au moin l'effort de prendre un autre moyen!

Les doigts de la malediction craquèrent fermements.Darki se voulat le plus menaçant possible.Ce serait son premier combat et il était un tant sois peu nerveu.

Un sourire assez ombre animas mon visage, ces paroles je les écoutais sans même broncher, en maternelle, j'aurais aimé y retourner à cette époque rien n'étais comme maintenant ont vivais d'ignorance et c'étais bien mieu, alors que maintenant je me tennais droite courverte de blessures et de sang, prète à me battre encore une fois pour une vie que je n'aimais pas.

Tu est bien sur de toi, je vais te montrer ce qu'une petite de maternelle comme tu me le dis si bien c'est faire, tu vas être surpris.

Mon rire résonnas dans les ruelles, ce n'étais pas la première fois que je me lançais contre un ennemis, et j'avais pas mal d'années de combat et d'entrainement derrière moi, plus l'expèrience que j'avais acquis jusque la, je n'étais pas effrayé, loin de là.

Ce qui est pour toi un joujoux va vite devenir un cauchemard.

Ce poignard avais beau être petit il n'en restais pas moin utile, maniable et m'apportant une certaine facilité à m'aprocher de mes ennemis je pouvais donner des coups rapides et précis.Je sortis un second coutteau de ma chaussure gauche dans le même état que le premier qui m'avais déja servi à combattre contre Liko.

*Sa tien du miracle que je sois encore debout avec une telle envie de combattre, après ce qui vient de se passer, alors me traiter de faible je n'accepterais pas.*

Aurais je du trembler de savoir que j'affrontais un individus dont je ne savais rien, aurais je du craindre pour cette vie, je n'en savais rien mais il étais déjas trop tard pour me poser toutes ces questions, je m'étais déja élançé, les deux poignard bien en mains.

S'attendant à cette réaction, il s'avait comment réagir.Darki se pencha,la tête au niveau du ventre de son adversaire en quelque secondes seulement(Ne lui laissant pas d'ouverture) la jeune fille était sur son épaule comme un vulgaire sac de patate qu'il lança plus loin.

Deux joujoux?

Son sourir ravi montrait qu'il commencait à bien aimé la jeune femme.

*Darki;Elle a du cran!*

Appuyé sur de sombres parois, à l'intérieur du crane de Darki, Max était boulversé.Regardant la jeune fille bléssée il aurait bien aimé courir l'aidé que de voir Darki la réduire en miettes.Les 4 mois d'entraînement intensifs de Darki auprès de Frank avait été penible mais le résultat...

Les yeux de Darki se posèrent sur Liko, il passa sa langue sur ses lèvres en s'approchant d'elle.

Vien petite fille...Je veux juste te voir la tronche avant que ton amie se relève

[Liko ne pourras pas poster, elle seras absente jusqu'à la fin du mois, désolée.]

J'étais retombé lourdement sur le sol, incapable de réagir face aux gestes de mon adversaire, j'étais dans un état lamentable, peut être que j'aurais du m'enfuir au lieu de m'entêter de cette façon, il c'était adresser à Liko mais elle étais endormie dans un profond sommeil depuis notre combat quelques chose m'échappais mais quoi? Je n'avais pas le temps d'analyser la situation, je devais réagir, la mettre loin de toute source de problème, alors en marchant avec les quelques force qu'il me restais je prit un des deux poignard déposé sur le sol et blessa mais que légèrement le cheval qui s'emballa pour partir au galop dans les ruelles, maintenant elle étais loin et j'étais de nouveau seul, je préférais tout de même la savoir en sécurité cas mes côtés à demis consciente et surtout en danger. Puis sans même réfléchir je repartie une seconde fois à la charge, le sang avais cessé de couler mais je restais faible, et donc incapable de me défendre. Dans cette situation, tous les entraînements, tous les combats que j'avais eu jusque là ne servais presque à rien, je dirais même à rien, se battre déjà à demi morte relevais plutôt du suicide.

J'eus alors la sensation que je devais me lever, que je devais affronter la réalité et non dormir pour mieux la fuir. Soudain je me redressais, une lueur malsaine dans mon regard, mon mouvement fut vif. Ma main se plaça dans le cou de mon adversaire et une vipère qui semblait bien venimeuse apparue dans le cou de Darki. Je dis alors en souriant étrangement, ce sourire éait malsain et ne me ressemblait pas du tout mais lorsqu'on désirait faire du mal à Océane, c'était mon petit côté animal qui prennait le dessus...

"Puis-je vous montrer de quoi la petite fille est capable quand on veux exploser la tronche de sa grande soeur?"

C'était cette personne en face de moi que je ne voulais pas qu'Océane devienne. Ce Max sanguinaire sans l'ombre d'un sentiment. Cette chose que je devenais pour lui montrer que cela faisait peur, que cela n'était pas moi et que, même si désormais c'était à mon tour de protéger ma soeur de coeur, au fond de moi j'étais terrifiée. Non, mourir ne m'impressionnais pas, c'était le fait qu'un jour, le rêve dans lequel je baignais jour et nuit disparaisse... Je me forçais à rester endormie à jamais... Même si certaines personnes désiraient me réveiller... Avoir des pouvoirs, c'était la seule chose qui me laissait encore voir Océane. C'était la seule chose qui me permettait encore de sourire.....

J'étais resté figé, tension palpable rien qu'au regard, perdu dans mes souvenirs et dans mes pensées je la regardais comme si j'étais choqué, l'étais-je? sûrement. Je me relevas et m'approchas doucement d'elle, avant de passer mes bras autour de ses épaules pour l'enlacer, lui murmurant entre mes sanglots.

-Stop! C'est finis maintenant, finis tu comprend.....

Mes yeux embuer de larme rendais ma vision flous, et mon esprit semblais tout aussi confus. Aucune chaleur ne m'apaisais, même le corps de Liko semblais froid, glacé, elle qui pourtant d'un sourire apaisais mes moeurs. Mon corps retombas lourdement sur le sol, laissant entendre un bruit sourd, celui d'un corps sans vie, ma respiration commenças pas se faire lente avant que le paisible visage de mon amie ne disparaissent, et que mon corps reste comme une coquille vide sur le sol. Ma main tenant fermement un ruban de couleur pourpre auquel je tenais énormément, le ruban que portais angel, avant qu'il ne disparaisse subitement, ont pouvais voir à mon poignet droit le petit bracelet que tu m'avais offert, Liko, tu te rappelle? tant de souvenirs me revenais comme si...jusque la, j'avais vaguement perdu la mémoire, comme si tous nos bons souvenirs, c'était évadé, évaporé. Rappelle toi....que jamais tu ne seras seul, rappelle toi qu'un rêve....existe toujours, au plus profond, du coeur des gens. Voila les mots qui me berças en cette matinée particulièrement fraîche. Un doux sourire se posa sur mes lèvre comme signe d'une grande paix intérieure parce que finalement je me battais pour toi, parce que finalement, j'avais déjà depuis longtemps, cesser de vivre pour moi, je savais que tu serais toujours là, à mes côtés.

La vipère qui enveloppait délicatement le coup de Max disparut au moment où Océane tomba au sol. Je me précipita vers elle, la prennant dans mes bras, sanglottant des mots d'excuses au dessus d'elle.

"Hey hey... Tu peux pas me laisser hein? Tu m'avais promis... Que tu viendrais me voir jouer du violon devant la plage... Tu peux pas rompre une promesse... Grande-soeur..... Tu... TU PEUX PAAAaaaas......... Nan nan naaaan! Tu peux paaas!"

Je la serrais dans mes bras la secouais, l'embrassais et pleurais en murmurant un "tu peux pas" déespéré. Elle tombait souvent comme ça, comme une poupée cassée qui délicatement se démontait... Comme si quelque chose à l'intérieur manqué pour qu'elle puisse marcher correctement. Manquait il tout simplement une naissance...? J'avais peur, terriblement peur. Et Max n'était pour moi plus qu'un nuage dans un magnifique ciel étoilé. Je ne le voyais plus, sur le coup pour moi, il n'existait plus.....

*Je me rappelle vaguement des paroles que prononçais notre mère, Eloria, j'ai l'impression d'avoir tout oublier, de mon départ de cette maison, à l'accident, comme si, j'étais guidé par un instinct que je ne connaissais pas, je me rappelle juste être descendus, et avoir vus la maison qui prenais feu, mon souffle s'est subitement arrêter, comme aujourd'hui, et je me suis mise à courire à travers la foret, j'étais effrayée, déstabilisé, mais la fatigue ma rattrapé et je me suis effondré, mon corps tellement froid que je passais pour morte, un homme me recueilleras, il étais médecin...mais finalement trop envieuse de te retrouver, je partirais...j'avais oublié beaucoup....de mon passé. Tout me paraît sombre encore et j'étouffe, seras tu l'a pour m'aider ou toi aussi étouffe tu de la vie que l'on nous a offert....*

Mes cheveux à ce moment prirent une couleur rouge avant de retomber sur le rose que j'avais depuis ma naissance, le ruban qui les maintenais attaché s'évapora dans l'air comme un tas de poussière avant que le corps qu'elle tenais fermement entre ses bras, ne devienne qu'une simple illusion. Avant que moi aussi, à mon tour Eloria, je ne sois plus qu'un vague et simple rêve. Avant que je ne disparaissent et qu'elle ne se retrouve seul.

Je regardais mes mains, ce qui les comblaient disparaissait petit à petit. Mes larmes coulèrent de plus en plus avant qu'un cri de désespoire s'émette de mon être. Ma soeur, la seule personne sur la quelle je comptais, disparue. Je venais de me réveiller. Toutes les personnes connaissant Océane venaient de se réveiller. Je me releva, pleine de haine et de tristesse puis je frappais désespèremment sur le torse de Max. Ces coups ne pouvaient strictement rien lui faire, puis je me mis à dire tout bas.

"C'est de ma faute.... Je suis si stupide..... C'est moi qui l'ais le plus blessée..... Je veux être une enfant... Je veux être sa soeur.... Elle me manque......"

Ma voix partait dans l'aiguë tandis que la tête basse, mes bras pendant, je pleurais la disparition de ma soeur. Je sentis alors vaguement une main passer dans mes cheveux. Celle de Max peut-être? Je n'avais plus la force de relever la tête et soudain. J'explosa alors en sanglots. Je partie en courant, rammassant au passage le petit bracelet que je lui avais offert il y a longtemps... Je me dirigea vers le jardin tandis que j'étais perdue. Seule, encore une fois... Tout ce que je désirais, c'était une étreinte réconfortante et sentir le doux parfum de celle qui m'a si longtemps protégée... Bientôt un an... Le 11 Août... Nous n'aurons pas le temps de les fêter je crois... Le temps, la chose qui manque à tous.....

(désolé vraiment du retard j,étais parti loin loin de l'ordi et j,ai pas pu prevenir!!)

Quest qui arrivait?Ce tableau dramatique...Le sang...La marque sur le coup de Darki et la sensation d'être de trop...C'était si boulversant! Il n'y avait à peine deux minutes qu'il se battait contre Océane mais tout c'était arrêté lorsque la petite c'était mise à parlé.

Quest que...

Non, un méchant dans son genre ne devait pas succombé à la...La pitié ,oui c'est ça la pitié n'était pas un signe de puissance mais bien un signe de failesse. Ce sentiment si souvent présent dans la tête de son hôte! Voilà maintenant que ces deux filles s'embrassaient!Elles n'avaient pourtant pas l'air d'être soeur!C'était bien dégoûtant.

Du coté de Max, il regardait à travers les yeux de arki la scène qui le fit compatisé. Il aurait bien voulu crier aux jeunes filles de s'en aller et de faire comprendre à Océane que devenir ennemie n'était guère la solution!!Ouf...Prions pour que Chii retrouve sa trace et qu'elle ai trouvé l'aide qu'il fallait!!

Sans dire un mot Darki s'approcha des filles et tandis une mains pour les séparé mais une pulsation causé par notre ami Max le força à caressé doucement les soyeux cheveux de l'enfant,pour lui. Un murmure de mot grossier mais la jeune fille s'était déjà sauvé le laissant seul avec Océane. Darki vaint s'assoir au coté de la jeune femme et pénétra son regard dans le sien avec ardeur.

Et bien ma belle...Je ne crois pas que la meilleure solution pour toi est de devenir une ennemie des mutants! Aller v`t'en je vais t'épargner...

Un sourir se déssina sur ses lèvres pâles tandis qu'il avait encor les yeux rivé sur ceux d'Océane.

Vite avant que je ne change d'avis!

voix : " est ce la pitié que je t'ai enseigner ? souviens toi de tes débuts : la pitié est signe de faiblesse , le pardon est signe de faiblesse , si tu es faible, tu es mort . alors maintenant debout ! "

avant meme qu'il est pu faire quoi que ce soit darki fut projeté en l'air et retomba lourdement sur le sol a quelques metres de la jeune fille ... désactivant son camouflage optique Franck se tourna vers océane ...

Gray Fox : " Tiens donc , on veut tuer du maudits ... déjà il faudra me prouver ton interet ! "

Saisissant océane a la gorge , Gray la souleva et la tint suspendu dans le vide ...

La jeune fille souri, elle aurais du se mettre à crier, mais non elle resta calme, aussi calme que d'habitude, elle ne ressentais rien aucune douleur, elle ne bougeais pas non plus, elle fixas alors la personne se trouvant devant elle et lui crachas.

-Vous pouvez faire ce que vous voulez, me tuer, me dénigrer, sa ne serviras à rien, un rêve, est intouchable, j'ai moi aussi des faiblesses, mais avant de les trouver il vous faudras un certain moment, vous me sous estimer, vous sous estimer la force que je possède.

Elle lanças alors un regard noir à toute les personnes présente, la peur, la mort, tous ses mot ne lui effleurais même pas un frisson, elle ne tremblerais pas, elle irais de l'avant se battrais jusqu'au bout, pour ses convictions, et celas même sans aide.

-Je n'ai pas peur de vous, ni même de lui, personne, je ne tremble pas face à la mort, de toute façon, comment éviter ce qui est inévitable.

Elle plaças alors ses mains autour de son cou, et imposa, une pression pour se libérer, elle avais beau paraître insouciante et chétive, Océane, savais se battre, elle possédai une force qu'elle ne montrais que rarement, et une rage qu'elle enfermais au plus profond de son coeur.

Au son de la voix de son maître il équarquilla les yeux.N'était'il pas mort celui-là? Darki revint aussitôt à lui lorsqu'une pression violente le projetta à quelque mètres de là.La douleur se situait dans un point situé exactement à 2centimètre en haut du nombril. Les mains égratigné et haletant, Darki resta par terre sur le côté en se tenant le ventre.

*Darki; Guuu...Max si je n'aurai pas peur que tu crie de douleur et que tu me fou dans l'embarras...J'échangerais tout de suite de place!*

*Max; Oh...C'est très gentil de ta part!*

*Darki; Tu fais expret pour m'énervé toi!!!*

*Max; Nah tu t'énerve tout seul moi je fait que taquiner mon méchant coté qui me garde prisonier et qui m'a carrément vollé ma petite amie!!*

*...*

Bon, Max n'était pas très réconfortant.Darki regarda donc les deux autres ''discuter'' tout en souffrant en silence pour ne pas avoir d'autres ennuis.

*Pauvre sotte!Elle vien de -provoquer Franck sa và bardé!*

» Se cherche un petit compagnon